Mauritanie: 24/02/2006 - Coucher de soleil (4)
Pas de trace d'Erwann & Agnès... Seuls les dromadaires sont visibles, je passe au milieu d'eux sans y faire attention;
Des femmes sont présentes, les femmes de nos chameliers apparemment;
Le site est magnifique, encaissé, à proximité d'un massif dunaire de toute beauté.
On prend le thé, 3 comme d'habitude, comme le veut la tradition.
On parle un peu, je suis extenué.
Mais, cette dune m'intrigue. Le soleil commence à se coucher, et je prefere prendre congés de mes collegues pour arpenter cette dune en prenant soin d'emporter mon appareil photo. J'arrive à la fin de mes pelicules; J'en avais 15 pour avoir le choix dans les sensibilités et supports, j'ai finalement tout consommé;
La pente est rude, le sable est dur;
Une fois en haut, je m'aperçois qu'il y a d'autres dunes encore plus hautes.
On prend notre pied une dernière fois à marcher dans ces dunes qui nous ont tant epuisé à s'enfoncer gracieusement dedans. Là, on a le temps, on va où on veut, chacun choisit sa dune, monte et descend où il veut.
Je fais des photos tant le soleil couchant offre de magnifiques couleurs. Les photos ci -dessous faites à hauteur de la crete de la dune où j'etais à califourchon sont pour moi les plus belles de ma production.
Et j'arrive à la fin de la pelicule ! dommage j'aurais encore pu faire des dizaines d'autres photos, les couleurs sont de toute beauté.
Certains sont en haut de la plus haute dune, attendant le coucher de soleil. Je les rejoint, mais par la pente la plus raide, la plus haute ... pour me rappeler une derniere fois.
Je m'allonge, attend le coucher de soleil qui à l'instar des autres n'est pas à la hauteur du premier que nous vimes en arrivant à Atar.
Je pars quasiment le dernier, et je m'amuse de nouveau à chercher la plus grande pente pour descendre la dune en courant, et pieds nus.
Pendant ce temps-là, parmi ceux restés en bas, je vois Agnès en train de préparer la pate pour le pain, façon mella comme en Tunisie;
Elle est eclatée de rire parce qu'apparemment c'est très difficile d'obtenir une pate ferme. Elle fait la compétition avec l'un de nos chameliers qui a le coup de main & la technique necessaire. Et l'habitude aussi.
Agnès essaie de l'imiter en vain...
Voilà, c'est notre derniere nuit à la belle etoile; j'ai essayé de prendre en photo le maigre coucher de soleil qui s'offre à nous depuis le campement, mais la photo est vraiment nulle; je vous laisse en juger.
A suivre
Des femmes sont présentes, les femmes de nos chameliers apparemment;
Le site est magnifique, encaissé, à proximité d'un massif dunaire de toute beauté.
On prend le thé, 3 comme d'habitude, comme le veut la tradition.
On parle un peu, je suis extenué.
Mais, cette dune m'intrigue. Le soleil commence à se coucher, et je prefere prendre congés de mes collegues pour arpenter cette dune en prenant soin d'emporter mon appareil photo. J'arrive à la fin de mes pelicules; J'en avais 15 pour avoir le choix dans les sensibilités et supports, j'ai finalement tout consommé;
La pente est rude, le sable est dur;
Une fois en haut, je m'aperçois qu'il y a d'autres dunes encore plus hautes.
On prend notre pied une dernière fois à marcher dans ces dunes qui nous ont tant epuisé à s'enfoncer gracieusement dedans. Là, on a le temps, on va où on veut, chacun choisit sa dune, monte et descend où il veut.
Je fais des photos tant le soleil couchant offre de magnifiques couleurs. Les photos ci -dessous faites à hauteur de la crete de la dune où j'etais à califourchon sont pour moi les plus belles de ma production.
Et j'arrive à la fin de la pelicule ! dommage j'aurais encore pu faire des dizaines d'autres photos, les couleurs sont de toute beauté.
Certains sont en haut de la plus haute dune, attendant le coucher de soleil. Je les rejoint, mais par la pente la plus raide, la plus haute ... pour me rappeler une derniere fois.
Je m'allonge, attend le coucher de soleil qui à l'instar des autres n'est pas à la hauteur du premier que nous vimes en arrivant à Atar.
Je pars quasiment le dernier, et je m'amuse de nouveau à chercher la plus grande pente pour descendre la dune en courant, et pieds nus.
Pendant ce temps-là, parmi ceux restés en bas, je vois Agnès en train de préparer la pate pour le pain, façon mella comme en Tunisie;
Elle est eclatée de rire parce qu'apparemment c'est très difficile d'obtenir une pate ferme. Elle fait la compétition avec l'un de nos chameliers qui a le coup de main & la technique necessaire. Et l'habitude aussi.
Agnès essaie de l'imiter en vain...
Voilà, c'est notre derniere nuit à la belle etoile; j'ai essayé de prendre en photo le maigre coucher de soleil qui s'offre à nous depuis le campement, mais la photo est vraiment nulle; je vous laisse en juger.
A suivre
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