Mauritanie: 24/02/2006 - Après Midi (3)
Après avoir pris des photos des enfants qui nous vendaient leurs produits, car le vendredi après midi ils n'ont pas école, et les dromadaires, je repars avec le groupe dans la fournaise;
C'est un des jours les plus chauds qu'on ait connu, enfin j'ai cette impression.
Nous marchons sur une sorte de piste à flanc du guelb, traversant des villages sans vie souvent, et parfois avec des gens sortant de leurs maisons pour nous regarder.
Je crois me rappeller que ce fut ce jour où nous fumes accompagnés par plusieurs enfants qui couraient auprès de nous et discutaient avec quelques uns d'entre nous.
Comme il n'y avait pas d'arbres sous lesquels se réfugier pour se protéger de la chaleur, nous nous abritons dans des maisons de pierre vides.
A notre gauche, un boulevard de sable se presente à nos yeux avec parfois du trafic dessus, des 4x4, des caravanes.
Puis nous descendons sur ce boulevard pour permettre à deux d'entre nous de faire le reste de la marche à dos de dromadaire. Erwann & Agnès s'y collent. Ils mirent beaucoup moins de temps que nous.
Nous nous arretons à un puits tenu par des gamins. J'accepte alors de me faire verser sur la tete de l'eau fraiche du puits. Mon Dieu, comme c'est agréable ! Autant j'avais refusé au tout début, autant j'acceptais à la fin, car cela avait valeur de récompense à mes yeux, endurer la chaleur et sentir sur soi de l'eau fraiche après plusieurs jours de secheresse (de la peau) ça doit certainement etre plus apprecié que d'avoir ce présent au bout du 1er jour;
Nous repartons;
Bruno et un des membres du groupe se mettent à courir le plus vite possible derrière les dromadaires, sans pouvoir les rattraper. Ils sont fous, courir dans le sable c'est epuisant ! je l'avais testé l'année derniere en Tunisie.. ou alors courir sans son sac, et encore ... !
Nous marchons dans le sable, puis reprenons un chemin plus pierreux. Il est 17 heures. Je sens que mes mollets chauffent de l'arrière. Avec le vent frais, qui nous a un peu épargné de cette chaleur, j'ai chopé des coups de soleil sur le haut de l'arrière des mollets. Je ne le ressens que tardivement, et trop tard pour faire quelque chose.
On rattrape finalement le campement pour la nuit. Notre groupe ressemble plus à une longue procession qu'à une marche groupée. J'arrive parmi les premiers, j'avais hate d'en terminer;
A suivre...
C'est un des jours les plus chauds qu'on ait connu, enfin j'ai cette impression.
Nous marchons sur une sorte de piste à flanc du guelb, traversant des villages sans vie souvent, et parfois avec des gens sortant de leurs maisons pour nous regarder.
Je crois me rappeller que ce fut ce jour où nous fumes accompagnés par plusieurs enfants qui couraient auprès de nous et discutaient avec quelques uns d'entre nous.
Comme il n'y avait pas d'arbres sous lesquels se réfugier pour se protéger de la chaleur, nous nous abritons dans des maisons de pierre vides.
A notre gauche, un boulevard de sable se presente à nos yeux avec parfois du trafic dessus, des 4x4, des caravanes.
Puis nous descendons sur ce boulevard pour permettre à deux d'entre nous de faire le reste de la marche à dos de dromadaire. Erwann & Agnès s'y collent. Ils mirent beaucoup moins de temps que nous.
Nous nous arretons à un puits tenu par des gamins. J'accepte alors de me faire verser sur la tete de l'eau fraiche du puits. Mon Dieu, comme c'est agréable ! Autant j'avais refusé au tout début, autant j'acceptais à la fin, car cela avait valeur de récompense à mes yeux, endurer la chaleur et sentir sur soi de l'eau fraiche après plusieurs jours de secheresse (de la peau) ça doit certainement etre plus apprecié que d'avoir ce présent au bout du 1er jour;
Nous repartons;
Bruno et un des membres du groupe se mettent à courir le plus vite possible derrière les dromadaires, sans pouvoir les rattraper. Ils sont fous, courir dans le sable c'est epuisant ! je l'avais testé l'année derniere en Tunisie.. ou alors courir sans son sac, et encore ... !
Nous marchons dans le sable, puis reprenons un chemin plus pierreux. Il est 17 heures. Je sens que mes mollets chauffent de l'arrière. Avec le vent frais, qui nous a un peu épargné de cette chaleur, j'ai chopé des coups de soleil sur le haut de l'arrière des mollets. Je ne le ressens que tardivement, et trop tard pour faire quelque chose.
On rattrape finalement le campement pour la nuit. Notre groupe ressemble plus à une longue procession qu'à une marche groupée. J'arrive parmi les premiers, j'avais hate d'en terminer;
A suivre...
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