Atterrissage
Vous qui revenez d'un séjour dans le désert, n'avez vous jamais remarqué la difficulté de revenir dans la vie que vous aviez quitté avant de partir ?
Cette année, l'effet est moins marquant, seul la sensation de solitude se fait sentir tant j'ai bien aimé le groupe qui fut le notre.
Les années precedentes, car plongé dans des univers beaucoup plus minéraux et vraiment deserts (j'ai croisé plus d'autochtones pendant ce séjour que pendant la somme des 3 precedents, c'est pour dire !), le retour dans ma vie était plus difficile.
Je me rappelle particulièrement le retour de mon premier trek en Tunisie. J'ai mis plusieurs jours à m'en remettre, et surtout j'avais presque tout oublié de mon boulot, au point de ne pas reconnaitre l'adresse de ma société sur les factures des clients !
Ce samedi fut l'occasion de se mêler de nouveau à la vie stressante de mes concitoyens en partageant leur frénésie consommatrice à Carrefour. Je progressais à un rythme très lent, et continuais d'écouter le silence de mon appartement comme si j'étais encore au Maroc.
Ah ! avant de terminer ma prose, vous qui êtes modernes et aviez apporté vos APN, si vous le désirez, je peux publier vos meilleures photos dans les billets que je publierai à l'avenir.
Cette année, l'effet est moins marquant, seul la sensation de solitude se fait sentir tant j'ai bien aimé le groupe qui fut le notre.
Les années precedentes, car plongé dans des univers beaucoup plus minéraux et vraiment deserts (j'ai croisé plus d'autochtones pendant ce séjour que pendant la somme des 3 precedents, c'est pour dire !), le retour dans ma vie était plus difficile.
Je me rappelle particulièrement le retour de mon premier trek en Tunisie. J'ai mis plusieurs jours à m'en remettre, et surtout j'avais presque tout oublié de mon boulot, au point de ne pas reconnaitre l'adresse de ma société sur les factures des clients !
Ce samedi fut l'occasion de se mêler de nouveau à la vie stressante de mes concitoyens en partageant leur frénésie consommatrice à Carrefour. Je progressais à un rythme très lent, et continuais d'écouter le silence de mon appartement comme si j'étais encore au Maroc.
Ah ! avant de terminer ma prose, vous qui êtes modernes et aviez apporté vos APN, si vous le désirez, je peux publier vos meilleures photos dans les billets que je publierai à l'avenir.
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